Centre Médico-Chirurgical Réadaptation des Massues - Croix-Rouge française

Ma maman vient de séjourner 6 mois en SSR gériatrique, j'ai eu le temps de me faire une opinion sur cet établissement y venant quasiment tous les jours. Merci à l'ensemble du personnel, ne changez rien, on peut difficilement être plus dans la bienveillance et le respect du patient. Et je rajoute que j'ai des points de comparaison car ma mère a déjà séjourné dans deux autres SSR auparavant. Merci les Massues, merci la Croix-Rouge.

J'ai suivi ma formation en chirurgie de la colonne vertébrale dans ce grand centre entre 2000 et 2002. Je suis reconnaissant pour tout ce que j'y ai appris et je sais combien cet hôpital s'engage pour la qualité. J'ai vu que les structures ont été agrandies et qu'elles doivent maintenant être encore meilleures. J'espère revenir pour une visite l'année prochaine. Félicitations à tous ceux qui font de cet hôpital une référence mondiale.

Je mets 1 étoile mais c'est zéro qu'il faudrait mettre. Secrétaire pédente et radiologue colérique. Rdv pour radio/écho, fourmis dans les orteils. Étant sportive course à pied, trail,rando, et aucune douleur dans les pieds je choisi de ne faire que l'écho, afin d'éviter autant que faire se peut, les rayon X de la radio. Radio qui s'est confirmée parfaitement inutile par la suite Radiologue me rejoint dans la piece dans une colère démesurée et inappropriée. Discours et ton irrespectueux. Impression d'un mauvais commercial qui veut me vendre un aspirateur. Au vu du montant de dépassement des honoraires je comprends mieux. Boite à fric qui pousse à la consommation sans respect du client.

Merci au personnels soignants qui sont extrêmement gentils , agréable et compétents. Ma mère a été très bien soigné avec des équipes bienveillantes et professionnelles.Un établissement de qualité. Toutefois j’étais présent sur un précédent avis au sujet de la jeune fille qui a réussi à garder son sang froid face à ce monsieur au comportement intolérable. De plus il dit avoir touché la télé mais je ne suis pas sûr que touché soit le mots approprié. Je pense que taper serait une meilleure description de la situation. Cette jeune fille a très bien fait son travail car ce monsieur a été très agressif et incorrect avec elle. Les patients et les visiteurs sont très bien accueillis également à la cafétéria. Un grand merci pour l’ensemble du personnels des Massues

Le dimanche après-midi du 17 Novembre 2024 aux environs de 15 heures, nous avons appelé trois fois, ma famille et moi ainsi que le bénévole qui nous accompagnait, et avons attendu plus de 20 minutes avant qu’infirmière Juliana et sa collègue viennent dans la chambre de notre mère pour la transférer du fauteuil au lit. Nous ne leur avons fait aucune remarque à ce sujet, à aucun moment. C’était l’anniversaire de maman et on était juste content d’être là avec elle. On n’était pas à 20 ou 30 minutes près, même si maman commençait quand même à être fatigué et disait qu’elle voulait se reposer. La première fois on a appelé avec le bouton rouge dans la chambre. Comme personne n’arrivait au bout de dix minutes un quart d’heure ma sœur est aller chercher les infirmières en personne et elles lui ont dit qu’elles arrivaient. Après encore dix minutes un quart d’heure comme elles n’arrivaient toujours pas, ma sœur est retournée chercher les infirmières et cette fois ci les a trouvé à la table du salon assisent en train de papoter ; et même là elles ne sont pas venues tout de suite avec ma sœur. Ma sœur a eu le temps de revenir dans la chambre pour nous dire au revoir, partir, et après quelques minutes de plus, Juliana et sa collègue sont arrivés. Elles ont commencé à s’affairer autour de maman pour la transférer puis Juliana nous on regarder et nous a dit qu’on les dérangeait et qu’il fallait qu’on sorte. Je lui ai répondu qu’il fallait qu’ils se décident parce que son collègue qui a fait le transfert du lit au fauteuil deux heures avant, m’a dit que ça ne posait aucun problème de rester dans la pièce pendant le transfert, quand maman lui avait demander si je pouvais rester. Juliana a rétorqué qu’elle se sentait manquer de respect par ma réponse et qu’elle allait le dire à sa cadre. Je lui ai fait remarquer que c’est elle qui m’a initialement manqué de respect et que si la vérité la blesse alors qu’elle aille en parler à sa cadre si elle veut. Le bénévole et moi étions très choqué par son comportement. Nous avons à peine eu le temps de sortir de la chambre qu’elle nous a claqué la porte au dos.